Noël
… Cadeaux … Dépenses … Bref, pour vous éviter toutes dépenses inutiles durant
les fêtes de fin d’année, une sélection d’albums sortis en 2011 s’imposait. Il
n’est jamais évident de faire une sélection d’album, car malgré une année 2011
assez pauvre d’un point de vue bonne qualité, outre atlantique, certains albums
ont réussis à se distinguer.
Voici
donc une sélection de 5 albums pour se faire plaisir durant les fêtes. L’un de
mes critères fut la disponibilité sur le territoire français, donc pas de
spécifique, juste des albums accessibles pour tous et pour kiffer comme il
faut.
N° 5 / Watch The Throne :
Il
s’agit de l’album qui rassemble deux des plus gros artistes du monde hip-hop, Jay Z et Kanye West. Inutile donc de revenir sur la présentation des
artistes, et bien que l’album divise énormément les fans, je pense qu’il s’agit
d’un album indispensable à chaque amateur hip-hop. Après le gros buzz assuré par
les chansons H.A.M, Otis
ou encore Why I love You, diffusées par certaines radios et boites
françaises, l’aventure continue avec le tube incontournable Niggas
In Paris.
Mais
il est important de savoir qu’après 4 tubes qui ont permis de promouvoir l’album
de la meilleure des manières, des sons comme No Curch In The Wild,
New
Day, Murder To Excellence, … l’album garde pour vous le plus lourd
de ses sons. L’album reste cependant à écouter dans son intégralité pour se
plonger dans une ambiance propre à l’album … Je vous laisse donc à vos oreilles
pour découvrir cette merveille.
N° 4 / Greatest Story Never Told:
Pour
son premier album studio, Saigon
nous aura fait patienter plusieurs années. Repoussé à plusieurs reprises pour
diverses raisons, il aura fallu attendre
2011 pour atteindre les points de ventes. La seule chose que l’on peut dire,
c’est que l’attente valait vraiment le coup. Produit par le légendaire Just Blaze, l’album nous propose de
nombreux gros sons à l’image d’Ennemies, de Clap,
Give
It To Me, … et des featurings avec le gratin du hip-hop
américain : Jay Z, Swizz Beatz, Bun B, Joe Budden, Raheem DeVaughn, …
La
qualité de l’album n’est donc une surprise pour personne, le flow de Saigon et le plaisir d’entendre des
productions de Just Blaz, grand
artisan de la parution de l’album … que demander de plus ?
N° 3 / Ambition :
Repéré
il y a quelques années déjà par Mark
Ronson, Wale n’en est pas à son
première essai. Après un premier album passé plutôt inaperçu sur le continent
européen, mais qui a permis à l’artiste de se créer une bonne réputation aux
Etats-Unis. Le déclic d’Ambition viendra lors de sa
signature avec le label de Rick Ross,
Maybach Music Group, propulsant Wale sur les devants de la scène.
Après
une période de featuring avec les différents artistes du label, la mise en
place de l’album s’effectuera assez vite et avec un résultat incroyable. Entre Ambition,
Focused,
Miami
Nights, … sans oublier l’incontournable Slight Work, qui
commence à se faire un nom dans les boites de nuit, l’album de Wale est peut être LA surprise de cette
année.
N° 2 / The Div :
Encore
un rookie dans les studios, le groupe Pac
Div nous propose son premier opus The Div. Une grosse attente
de notre part et nous vous en avions fait part lors du matage du clip Posted.
Inutile de préciser que l’album fut à la hauteur de nos attentes. Avec des sons
comme Life is Good, Useless à Brown ou encore Number 1,
on retrouve vraiment du lourd. Peu reconnu sur les côtes européennes, l’album à
reçu de très bonnes critiques outre-atlantique. Sa sortie début novembre n’a pas
permis de mesurer encore le succès, ou non, de l’album, alors n’hésitez pas de
votre côté.
Un
album qui ne pourra vraiment pas vous décevoir, et pour ceux qui ont déjà
kiffé Posted, le meilleur est devant vous.
N°1 / The Sideline Story :
Sans
doute le gros coup de cœur de cette année, J.
Cole, le protégé de Jay Z, nous
propose un album allant au-delà de nos espérances. Après de prometteuses
mixtapes et de très gros featuring (Jay
Z, Drake, …), le niveau était
très élevé. Le succès de The Sideline Story a permis à
J. Cole de faire une tournée européenne qui s’est achevée hier à Paris. Les sons
Work
Out ou encore Can’t Get Enough ne sont
qu’un avant-goût du contenu que l’on retrouve sur l’album. A vrai dire
l’univers de l’album ne laisse aucune chanson de côté. Que l’on parle de Lost
Ones, Nobody’s Perfect ou encore de Mr. Nice Watch,
chacun y trouve son compte.
C'est un album qui peut déjà être perçu comme un classique du genre. Le seul regret vient
lors de la fin de la dernière track, mais qui s’efface aussitôt lorsque l’album
redémarre. Alors si vous ne l’avez pas encore dans votre discothèque ou si vous
ne l’avez tout simplement pas encore entendu … Vous savez quoi
faire !
Flinstone.
Flinstone.
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