Voici un nouvel artiste qui en a dans le pinceau. Clarck a commencé sa démarche artistique par la customisation de tee-shirt et de chaussures et par un peu de décoration. C'est une période qui lui a permis de prendre en maturité et ainsi de maîtriser ces couleurs vives et fortement contrastées et ce trait ferme et vibrant qui constituent aujourd'hui sa signature graphique.
27 févr. 2011
25 févr. 2011
Music Friday : Joke + Mr Viktor
Thanks God It's Friday ! Un peu de musique pour bien commencer le week-end.
Joke release party Promo tape by Munix
Fffrrrreeq revient avec un nouvel EP : Strass. Voici le remix délicieusement hystérique de ce titre par Mr Viktor. Impossible d'y rester indifférent !
Fffrrrreeeq - Strass - Mr Viktor remix by Mr Viktor
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SPOEK MATHAMBO - Control
Un nouvel extrait de l'album Mshini Wam du phénomène Spoek Mathambo avec le titre Control. Le morceau est une reprise de la chanson culte She's Lost Control de Joy Division. L'artiste se réapproprie totalement la chanson originale pour en faire une mélodie électro déchirante teintée de rythmiques africaines. Le clip transmet une tension inquiétante en nous immergeant dans les pratiques occultes des township et les gangs d'enfants.
Une prouesse visuelle couplée à une composition musicale pointue qui nous pousse à être plus attentif aux nouveaux talents qui émergent au sein du berceau de l'humanité.
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23 févr. 2011
BD Banx - Jump
BD Banx vient de sortir le clip Jump. Nous avions déjà parlé du phénomène du Hip-hop belge il y a de cela quelques mois. Il nous gratifie ici d'une vidéo brillamment réalisée.
Le concept peut paraître incongru au départ mais il dénote totalement avec l'image que nous nous faisons habituellement des clips de rap. BD Banx réussit une fois de plus à nous faire entrer avec brio dans un univers qui nous sort délicieusement des sentiers battus.
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20 févr. 2011
Tuff Wheelz - It's Like That EP
Tuff Wheelz, un blase qui sonne lourd, des compositions entêtantes ni plus ni moins. Sous ce nom se cachent deux bordelais, Leroy Washington et Sevenfive, qui ont pris bien du galon depuis leurs débuts en 2007. Et pour cause, ils ont déjà partagé l'affiche avec A-Trak, Birdy Nam Nam, Congorock, Busy P et bien d'autres. Plus récemment, ils ont participé à Drunk Bass, le nouvel EP de Leonard de Leonard.
Sur le label Dead Speaker Office, les deux compères ont sorti depuis peu leur propre EP, It's Like That, florilège de rythmiques fruitées voire acidulées. Les empereurs de la "musique de danse" signent ici un opus aux titres dansants et bien ficelés. Un régal.
TDSO002: Tuff Wheelz - It's Like That EP by The Dead Speaker Office
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18 févr. 2011
The Flash Of Light by Andrey Ivanov
Le photographe ukrainien Andrey Ivanov attire les regards par ses compositions à la fois éthérées et saccadées. Ses clichés dardés de faisceaux lumineux traduisent une beauté cristalline qui exhale une éblouissante vivacité. Il nous livre ici une subtile approche de la lumière et du mouvement.
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In Bed With DOWNTOWN RECORDS
Quand on pense Suisse, on pense Ricolas,montagne,chocolat... enfin tout sauf musique digitale. Street Dandy's a posé ses valises dans la Confédération Helvétique le temps d'interviewer Samuel Pasquier, le fondateur de DWNTOWN RCRD et de Placyde, artiste mystérieux signé sur le label.
Retour sur une entrevue d'un label très prometteur.
Samuel, présente-toi à nos lecteurs.
Hello, je m’appelle Samuel Pasquier, je suis actuellement en formation de concepteur en multimédia. Je suis à la base DJ avant d’avoir commencé la production il y a un an et demi environ. À la fin 2010, j’ai monté DWNTWN RCRD, un label visant à promouvoir des jeunes artistes et leur permettre de faire leurs preuves qu’ils viennent de suisse ou d’ailleurs.
Comment l’idée de créer ce label a-t-elle germé en toi ?
En fait, l’idée m’est venue il y a environ deux ans de cela, en partant d’un constat simple. J’ai vite remarqué que dans ma région et même à l’échelle nationale, les quelques « labels » qu’il y avait étaient en fait une bande d’amis, un cercle restreint et hermétique et qui sortaient de temps en temps un morceau. Cette situation me frustrait profondément et petit à petit je me suis dit « Pourquoi pas moi ? ».
Pendant deux ans j’avais ce projet dans un coin de tête, il s’agissait pour moi de créer un pôle, en endroit commun où les artistes peuvent montrer ce qu’ils font, s’enrichir de l’expérience des autres, partager. À moyen terme, l’idée est d’avoir par exemple des artistes qui en remixent d’autres, fassent des featurings, invitent d’autres producteurs.
Le concept d’album est aussi pour moi primordial. Je voulais pas sortir simplement des morceaux mais créer un objet, une entité à part entière pour qu’une fois dans les mains, tu en sois fier et que tu aies envie de l’écouter et de le partager. L’EP de Placyde est un bon exemple, on a même décidé de modifier les titres des morceaux pour avoir une meilleure cohérence.
Ton label est ouvert à toute sorte de musique, tu penses ainsi te démarquer des autres labels à la manière de maisons éclectiques telles que Warp ou Stone Throw ?
Pendant pas mal de temps, j’ai hésité, venant plutôt du monde électro, à ouvrir un label uniquement orienté dancefloor et musiques de clubs. Mais en fin de compte, j’ai voulu créer un monde qui me ressemble. J’ai alors réfléchi à ce que moi-même j’écoutais et ce que j’avais envie d’entendre. J’écoute beaucoup de musique, et de pleins de styles différents.
J’aime bien dire que j’écoute du rock dans le bus, du trip-hop dans ma chambre et de la house en club. C’est un assez bon résumé et je me rend compte que ça se ressent dans ce que je produis. Un jour, j’ai envie de faire un track house et le lendemain, je voudrai produire un truc dubstep, uk-funky ou n’importe quel trip du moment. C’est parfois même assez lourd. Ahah !
Pour en revenir aux labels que tu cites, oui clairement.
Ce sont vraiment deux labels qui m’ont inspirés, y compris au niveau du visuel. En discutant avec Loïc (notre designer), il est clairement apparu qu’on voulait ce côté « arty » présent sur les pochettes de Warp. Les pochettes de Stone Throw sont de tout aussi beaux objets, j’aurais presque peur d’écouter un vinyle de Stone Throw de peur de l’abîmer ahah ! Ce sont des structures qui, comme moi, ont le culte de l’objet, de la matière.
On est d’ailleurs en train de regarder pour faire presser certains albums sur vinyles tandis qu’on développe en parallèle une gamme de « goodies », comme des jutebags par exemple.
Ce sont vraiment deux labels qui m’ont inspirés, y compris au niveau du visuel. En discutant avec Loïc (notre designer), il est clairement apparu qu’on voulait ce côté « arty » présent sur les pochettes de Warp. Les pochettes de Stone Throw sont de tout aussi beaux objets, j’aurais presque peur d’écouter un vinyle de Stone Throw de peur de l’abîmer ahah ! Ce sont des structures qui, comme moi, ont le culte de l’objet, de la matière.
On est d’ailleurs en train de regarder pour faire presser certains albums sur vinyles tandis qu’on développe en parallèle une gamme de « goodies », comme des jutebags par exemple.
Le monde de la musique en Suisse est assez peu connu du reste du monde, est-ce un défi pour toi ?
Je crois malheureusement que ce n’est pas à cause du talent des artistes mais des politiciens. En Suisse, la culture souffre d’un manque cruel de crédibilité. Il y a pleins d’endroits vraiment cools en Suisse qui n’ont rien à envier à de gros clubs reconnus. Certains sont même d’anciens squats qui ont été réhabilité par un collectif. Jusque là c’est bien joli, mais une salle de concert ou un club, ça induit des frais et l’état suisse n’offre que des subventions superficielles qui ne permettent jamais à une salle de concert, qui pourtant propose un programme de qualité, de survivre.
Du coup, ces structures n’ont plus trop de choix ; travailler bénévolement et baisser la qualité de programmation ou continuer mais faire jouer des mecs qui attireront de toute façon du monde. Tous ces éléments font que des groupes qui ont pourtant du talent se retrouvent à faire des concerts devant 20 personnes tandis que des clubs dans lesquels tu entendras « La Compagnie Créole » sont pleins comme un œuf. C’est assez démotivant vu comme ça.
Y’a-t-il beaucoup de concurrence en matière de production musicale en Suisse ?
C’est plutôt dur à dire. Le problème se situe surtout au niveau de la distribution et des labels. On offre peu de visibilité aux jeunes artistes suisses. Mais c’est également vrai que la mode de l’électro a donné envie à pas mal de mecs de produire, surtout qu’actuellement tu peux avoir des logiciels pros en quelques minutes et commencer à bidouiller tes synthés. Malheureusement chacun reste un peu dans son coin, et pourtant il y a en Suisse des studios d’enregistrement et des ingénieurs du son hyper qualifiés et reconnus mais utilisés principalement par des groupes étrangers.
Ton écurie compte déjà cinq membres, sont-ils tous originaires de Suisse ? Peux-tu nous les présenter brièvement ?
Actuellement oui, ce sont tous des gens que je connais, et c’est un peu paradoxal si tu regardes ce que j’ai dit plus haut. Seulement je me voyais mal débuter un label sans artistes ! Pour commencer il y a Placyde que vous n’allez pas tarder à connaître. Un mélange d’electronica et de trip-hop. Ensuite viens Modup, qui produit une sorte de crossover entre hip-hop, dubstep, drum’n’bass, grime. Ce mec est un touche-à-tout et tire ses influences de l’Angleterre surtout, ça punch grave.
Ensuite viens Cirkus, probablement le DJ le plus prometteur des environs. Il commence tout juste la production et je compte le mettre à contribution pour des remixes et un maxi à moyen terme. Après ce sont deux projets auxquels je participe.
Le premier, Monkey Banko avec mon pote Camilo, est un projet house aux influences exotiques et on travaille actuellement sur un EP avec des remixes de producteurs français notamment. Le deuxième est un truc vraiment en stand-by pour l’instant, un son plus orienté dubstep, un peu planant et psychédélique. J’ai quelques morceaux en cours et on verra ce que ça donne. Une belle bande de canassons.
Du côté des newscomers, je suis en train de discuter avec un producteur français de Poitier que j’ai repéré, mais aussi des allemands qui font une techno hyper brute et épurée. Patience donc.
Quelle sera la prochaine sortie sur DWNTWN RCRD ?
Le maxi de Placyde « Undermind » sort mercredi prochain (le 23 février) en digital. On va mettre en place un système de commande de CD et peut-être de vinyle peu de temps après.
Sinon on est en train de terminer l’EP de Modup qui devrait sortir vers la fin mars. Les sorties sont relativement espacées mais je n’ai pas envie de stresser les artistes, que ça se fasse naturellement. On a l’avantage de ne pas avoir de contraintes économiques, autant en profiter. En plus ça prend pas mal de temps de faire la promotion des sorties et c’est à moi d’assumer cette partie-là du job.
Sinon j’ai quelques projets d’évènements en tête. Je pensais notamment à une soirée avec des artistes du label. J’aimerais bien également organiser un mini-festival en plein air pour le début de l’été, mais c’est encore au stade d’idée pour l’instant.
Je me tourne vers toi Placyde, une petite présentation pour commencer ?
Yop ! Alors je m’appelle Yoann Corthésy et je suis actuellement étudiant en art et en communication audio-visuelle. Sinon la musique à toujours été mon dada depuis tout petit, mon père étant DJ. J’ai fais un peu de piano il y a des années de ça mais malheureusement j’étais trop petit pour apprécier cet instrument à sa juste valeur et j’ai donc arrêté. J’ai ensuite commencé la guitare électrique que je pratique toujours à un niveau très modeste. Je bidouille la musique électronique depuis environ deux ans et j’y trouve mon bonheur pour créer mes ambiances.
Pourquoi le nom Placyde ? Est-ce en rapport avec la notion de sérénité que le mot initial contient ?
Il y a un peu de ça oui. Mais j’ai avant tout choisi ce nom car mon troisième prénom est Placide, un prénom que je rejetais puis que j’ai commencé à apprécier avec le temps en vue de son originalité. Le « Y » c’est pour le lien avec mon premier prénom et aussi parce que j’aime cette lettre. Et j’avoue être quelqu’un de nature assez calme et tranquille d’esprit oui.
Comment définirais-tu ton univers musical ?
Je le définirais comme le déballage spontané de mes émotions. Quand je commence un morceau, je ne sais pas où je vais. Je découvre ma musique au fur et à mesure. Mais j’essaie tout de même d’obtenir une ambiance en général assez planante et sombre qui se rapporte aux rêves et aux sentiments du subconscient humain, ou plus précisément des miens je dirais.
Dans ton titre « No Control of Mind » on découvre des mélodies légères voire éthérées couplées à des mouvements de batterie lascifs qu’est-ce qui t’inspire ces sonorités ?
Comme le dis le titre, c’est la perte de tout contrôle de l’esprit. Et donc cette répétition d’une mélodie légère et ce rythme bien marqué est pour moi comme un labyrinthe dans lequel on s’enfonce, un rêve dans lequel tout se superpose pour créer au final une émotion, un climax, un dénouement et pour finir, le réveil. En dessous de toutes ces jolies histoires à la « Inception » se trouve biensur mes influences comme le trip-hop, l’ambient et d’autres trucs alternatifs avec par exemple Massive Attack, Thomas Newmann ou encore Nine inch Nails. Je ne vous déballerai pas la liste entière, ça deviendrait un peu long.
Décris-nous tes débuts.
Oh et bien je dirais que je suis en plein dedans donc pour faire simple, mon père me montre un programme de son, je l’essaie et je deviens accro. Je pense que je suis dans une phase d’expérimentation et j’ai encore du chemin à faire pour me concocter un style plus fin et acquérir plus d’expérience dans le domaine.
Comment as-tu connu le label Downtown Records ?
Samuel et moi sommes dans la même classe, et depuis l’année passée, je le saoul pour qu’il me donne des avis sur mes compositions (ahah). Alors quand l’idée du label lui est arrivée à l’esprit, il m’en a parlé et c’est comme ça que DWNTWN a sortie la tête du sable.
Quelles sont tes projets pour l’avenir ?
Je vais continuer à travailler sur l’album qui suivra l’EP Undermind dont la sortie est imminente. Peut-être plus de sons brutes de guitares et des voix sur certains morceaux qui sait ? Une chose est sûre, je compte creuser encore et encore et améliorer mon univers musical sans cesse en espérant plaire à un maximum de monde.
Vous l'aurez compris, DWNTOWN RCRD, a l'image de Placide est un jeune label avec de l'ambition à revendre et qui aura un succès retentissant d'ici peu. Alors restez branchés et téléchargez l'extrait de l'EP de Placide ici.
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17 févr. 2011
Mr. Viktor presents Belzebuth Project
Des nouvelles du label Scratch Science avec la sortie du premier vynil de Mr Viktor diaboliquement baptisé Belzebuth.
Avec trois titre de vice champion du monde DMC par équipe à son actif, Mr Viktor n'est pas un dj à qui on la fait à l'envers.Pourquoi Belzebuth ? Eh bien en référence à l'inspiration rock/métal qui l'anime pardi! Le projet se présente sous la forme d'un "DJ tool" indispensable à tout bon producteur,scratcheur ou battle dj qui se respecte.
Belzebuth by Mr Viktor, un bijoux d'inventivité, un véritable couteau suisse musical pour les dj amateurs et professionnels ou juste pour les assoiffés de sonorités nouvelles.
Achetez votre exemplaire bien à vous ici.
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Felix Cartal - World Class Driver
Le grand Félix Cartal nous gratifie d'un nouveau son de derrière les fagots. Le titre World Class rend une ambiance déjà inquiétante mais le clip dans lequel des représentants du troisième âge font une skins party, encore plus. Pari réussi pour la recrue canadienne de DIM MAK records.
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16 févr. 2011
Tritone EP : Electrosoul
Underground toujours, voici le Tritone project. Cet EP est le fruit de la collaboration du chanteur Cesar Sampson avec Stereotyp, fine lame issue du hip-hop britanique. Cette fois, l'EP se veux résolument soul. Les accents électro qui y sont ajouté en font un projet unique. Nous vous conseillons la chanson Losing For Words, la meilleure à nos yeux.
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Benibla - The Pusherman
Avant de nous présenter sa nouvelle collection printemps-été 2011, bEnIbLa nous revient avec une petite vidéo inventive. Le concept est simple, Kev, le fondateur de la marque, se ballade en mob' et distribue ses légendaires bonnets et sa bonne humeur. C'est bon enfant et c'est funky !
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La Femme - Sur la Planche
La Femme, ce groupe à géométrie variable qui monte qui monte, nous offre un nouveau morceau qui sent bon la mer. Sur la Planche, nous embrouille, à mi-chemin entre rock des 80's et électro de la première heure, La Femme se dévoile et nous livre un titre et un clip agréablement déroutants.
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15 févr. 2011
Alex Winston - Locomotive
La nouvelle sensation folk de ce début d'année s'appelle Alex Winston. La jolie américaine nous éblouit avec son titre Locomotive et son univers qui invite au voyage. Un délice.
Alex Winston sera en concert demain au Nouveau Casino, achetez vos places ici.
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Sneaky feat. RQM : Deep
Dans le hip-hop, il y a ceux qui surfent sur une vague préexistante et il y a les autres; ceux qui repoussent toujours plus loin les limites de cette culture, ceux qui prennent des risques. Le producteur Sneaky (à droite), membre des Fingathing (signés sur NinjaTune) s'est associé le temps d'un morceau avec le rappeur expérimental RQM (à gauche). Ce dernier a commencé par faire les premières parties des Xcutioners et de Missy Elliott. Puis, il s'est voué à sa recherche de nouveaux horizons musicaux, tout en valsant entre rap et slam. Deux pointures en somme, qui ont collaboré afin de nous livrer le titre Deep, sorte de composition nébuleuse qui a du coffre avec des accents... tibétains (qui l'eut cru ?). Un merveilleux titre qui nous rappelle que la culture hip-hop est en constante évolution.
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14 févr. 2011
Erykah Badu - Gone Baby, Don't Be Long
La reine de la nu-soul nous revient avec son nouveau titre Gone Baby,Don't Be Long extrait de Amerykah Part II : Return of The Ankh. La jolie chanteuse, ex-leader des Zap Mama a choisis de collaborer sur ce projet avec le producteur Flying Lotus ce qui nous donne un morceau qui colle à l'univers de la chanteuse sans pour autant s'enliser dans le déjà vu. De plus, cela nous fait du bien d'entendre à nouveau la voix cristalline d'Erykah Badu. Une jolie chanson pour un jour morose comme aujourd'hui.
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Set & Match : Freestyle
Voici des nouvelles du groupe Set & Match, un nouveau freestyle brillant en somme. Le tout en vidéo. Enjoy.
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Tyler The Creator - Yonkers : L'OVNI
Tyler The Creator est une bête curieuse qui roule sa bosse dans le monde du rap depuis pas mal de temps. Le leader du groupe californien OFWGKTA (Odd Future Wolf Kill Them All), déverse son univers torturé tant dans ses productions que dans ses paroles. Il défraye la chronique, il choque, mais ne manque jamais son but : réveiller les consciences endormies par la tendance mainstream dans laquelle se vautre le hip-hop depuis tant d'années. C'est chose faite avec son dernier titre en date, Yonkers. Le clip est loin d'être anodin comme trop de vidéos de rap, il va plus loin, brouille les pistes entre hip-hop et cinéma. A nos yeux, le meilleur clip depuis Sirens de Dizzee Rascal.
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9 févr. 2011
Les Jardins Parisiens - Cocktail Party
Petite piqûre de rappel.
Vendredi soir, la boutique Addiction Paris joue les prolongations pour un cocktail organisé par Les Jardins Parisiens, l'occasion pour vous de découvrir ou de redécouvrir leur collection hivernale. Ce sera un régal pour les yeux mais aussi les oreilles car Mr BIBAL et les French Kids s'occuperont de vous faire remuer du croupion.
Skull Candy's HeadBanger : La Révolution ?
Vous en avez marre de devoir constamment remettre votre casque en place lorsque vous faites du sport ? Skull Candy a pensé à vous. Le Headbanger , designé par Benjamin Lotte, est la nouvelle invention de la marque à la tête de mort. Le produit répond à une préoccupation récurrente : comment écouter confortablement de la musique tout en faisant du sport? Les écouteurs ne sont pas très pratiques, les casques traditionnels ne le sont pas plus. Skull Candy a donc pensé à incorporer des écouteurs dans un bandeau-éponge et le Headbanger est né. A la fois innovant et pratique,c'est une jolie trouvaille qui ravira sûrement les fous de sport.
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7 févr. 2011
The Twinsmatic : Hot 'N'Fun LE remix
Des nouvelles des Twinsmatic avec un nouveau remix à leur actif. Le duo de choc, a complètement transformé la chanson Hot'N'Fun du célèbre groupe N.E.R.D en se la ré appropriant pour l'accorder à leur propre univers. Le morceau prend alors des allures d'échappée musicale envoutante teintée de rythmiques raffinées. Le clip,lui, est réalisé avec grand soins, et cela se sent. Du coup, on est présence d'une pièce maitresse apportée à l'édifice de la carrière des Twinsmatic. Un remix qui n'est pas passé inaperçu aux yeux des auteurs de la chanson originale; N.E.R.D en personne, qui l'ont partagé sur leur page fan. Les deux virtuoses parisiens continuent sur leur fulgurante lancée avec un Hot'N'Fun brillamment revu et corrigé.
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6 févr. 2011
De Jeugd Van Tegenwoordig - Elektrotechnique
Ca fait un bail que l'on avait pas entendu parler des De Jeugd Van Tegenwoordig. Le célèbre groupe de rap néerlandais sort du silence avec un titre toujours aussi porté sur les pratiques que la morale réprouve. Elektrotechnique est un morceau à destination des dancefloors, c'est évident ; mais, il reflète tout de même le goût du groupe pour la bête à deux dos. De Jeugd Van Tegenwoordig revient donc en force avec un morceau plus dansant mais toujours aussi porté sur la bagatelle.
1 févr. 2011
Levi's Roadwear : Explore Fashion
Les marques de jeans ont le chic pour axer leur communication sur l’état d’esprit qui se dégage de leurs produits. Après la célèbre campagne « Be Stupid » par Diesel, voici Levi’s Roadwear pour la collection du même nom. La campagne de la légende du Jean, s’efforce de véhiculer l’esprit intrépide de l’explorateur, de l’infatigable voyageur, l’insatiable aventurier. Cette nouvelle collection se rapproche de la nature contrairement à Diesel. Le remarquable site créé pour l'occasion incite lui aussi au voyage. Levi's Roadwear, une collection qui sent bon les longues virées entre rebels without a cause.
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