29 déc. 2011
[Video] Clone X feat Erase DaMan - Wyled Out
Les Clone X nous reviennent avec un nouvel extrait de leur prochaine mixtape, Enregistré Saoul. Après Foutu Foutu, voici Wyled Out. Exit le côté screwed up music du dernier morceau; là l'instrumentale est plus effrénée, plus électrique. Du coup, les jumeaux laissent libre court à leur flow. Et ce son est agrémenté d'une valeur ajoutée : le rappeur new-yorkais Erase DaMan est venu leur prêter main de forte sur ce morceaux.
La suite en images.
[Photography] Agnieszka Chambros for Papercut Magazine
Holly Jane pose pour le Papercut Magazine de Décembre sous l'objectif espiègle d' Agnieszka Chambros. Pourquoi j'ai choisi ce photoshoot ? Parce qu'en cette saison hivernale, on fait une overdose de shooting froids et mécaniques. On a un besoin vital de couleurs chatoyantes, il faut que ça soit acide, il faut que ça pique les yeux disons-le franchement.
Et cette série remplit tous les critères pour nous sortir de notre torpeur visuelle.
Enjoy !
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28 déc. 2011
[Chronique] Skyzoid - 10 Best Albums of 2011
Après une année si riche sur le plan de l'actu, que retenir des
disques qui ont marqué ces douzes derniers mois ?
Ce classement se veut subjectif et n'a aucune prétention
exhaustive. Il comporte juste la promesse d'un grand bonheur auditif.
#10 Jeremiah Jae Rappayamatantra
Un bref coup d’œil à la
couverture de Rappayamatantra et l’on comprend vite que Jeremiah Jae n’est pas
tout à fait sain d’esprit. Le nom de l’EP n’a rien pour arranger la chose. Ce
huit titres, qui se rapproche plus d’un mini LP, traverse les époques avec
psychédélisme et démence. Un père qui vénère Mile Davis et une mère qui chante
l’évangile : les influences qui façonnent le Hip Hop de Jeremiah sont pléthores.
Celui qui s’est fait adoubé par Flying Lotus, possède des touches de Bob James
et un semblant de RZA mais il ne serait pas sérieux de lui coller une
étiquette. Le monde de J.J n’a pas de frontières.
Vous pouvez écouter le produit
sobre, vous ne le serez plus une fois la première écoute achevée.
#9 Spree Nelson - The Never Ending Now
Il chante, occasionnellement rappe,
souvent joue de la guitare, et écrit ses propres textes. Le tout, sans logiciel
superflu ou Auto-Tune. Lui, c’est Spree Wilson, et il nous a offert
gracieusement, à la mi-avril, l’une des plus belles promesses d’avenir. Sans
doute l’heure pour lui, de se faire connaître et reconnaître.
Le présent de quatorze chansons
se consomme dans une ambiance légère et attachante. Le chant est fluide, le
timbre cristallin, le rap n’est pas naturel mais c’est sans doute ce qui fait
toute sa beauté. L’accent nous vient lui
d’Atlanta, et dévore « Love You Better » avec une envie communicative.
« Everything I Own » est une de ces ballades entrainantes qu’on
redemande alors que « Don’t Pass Me By » est d’une délicatesse
apaisante.
Un ensemble surprenant et
captivant !
#8 Common - The Dreamer/The Believer
La sortie tardive de l’album de
Common n’est pas un prétexte pour l’oublier. N’en déplaisent à certains,
l’année calendaire est bien composée de douze mois (RIP la nomination des
Grammy Awards). Et si l’album ne peut s’adonner à un certain recul, les
premières écoutes se montrent sans équivoque : The Dreamer/The Believer
est un très bon cru.
Rarement décevant, Common ne
déroge pas à sa ligne de conduite. Le natif de Chicago se présente comme un
randonneur humble qui apprécie la route qui le mène jusqu’au commet. Comme à
son habitude, il développe une grande affinité pour les pauses jazz et les
boucles soul, comme sur « Cloth ». Cependant, le nouveau Common s’avère
plus glamour et plus festif qu’à l’accoutumé, comme en témoigne le très bon
« Celebrate ».
Partagé entre le rêveur et le
croyant, Common réalise sans doute la meilleure synthèse de sa carrière.
#7 M83 Hurry Up, We are dreaming
« Carry on… Carry
on… », crie Anthony Gonzalez pour la chanson d’ouverture de l’album,
en compagnie de Zola Jesus. Cette introduction témoigne de l’épopée fantastique
qui traverse ce disque. Nous vous présentions M83 en juillet dernier à
l’occasion d’un ‘Song of the Week’. Trois mois plus tard, Hurry Up, We’re
Dreaming fait une entrée remarquée en France mais aussi outre-Atlantique. La
critique est unanime et les talk-shows s’enchainent. En cette fin d’année, M83
truste le haut des classements récapitulatif des douze derniers mois, aux
Etats-Unis comme dans l’hexagone.
Désormais seul cerveau derrière
l’électro atmosphérique du groupe après le départ de Nicolas Fromageau pour
Team Ghost, Anthony Gonzalez fait exploser des sonorités épiques et pop tout au
long des vingt-deux pistes. « Midnight City » en est l’hymne
imparable et incontestable. Installé à Los Angeles depuis quelques temps, le
destin hollywoodien de M83 est en marche.
Grandiloquent et enivrant !
#6 Wu Lyf - Go tell fire to the Moutain
Le jeune groupe de Manchester a
fait une rentrée fracassante et inouïe sur la scène internationale. World Unite
Lucifer Youth Foundation n’est pas signé sur une grosse major et n’inonde pas
la toile de spam comme le fond généralement les rookies. Alors qu’ils
remplissent les salles de concert, les néophytes mancuniens ne donnent que très
peu d’interviews et restent très mystérieux. Les rares morceaux postés su le
web, envoutants et terrifiants, sèment le trouble et nourrissent l’attention.
Alors, lorsque Go Tell Fire To The Mountain apparait,
c’est l’orgie ! L’album est encensé autant qu’il ne dérange. C’est dire.
« Nous avons joué lourdement, chaque nuit, jusqu’à ce que nos voix brisées
atteignent la note juste », raconte un membre du groupe. Enregistrées,
semble-t-il, dans une église, les mélodies sont construites d’orgues et de
guitares. Les chants qui accompagnent sont possédées. Wu Lyf scande des paroles
souvent incompréhensibles. La musique saisit l’oreille et capture l’âme.
« Heavy Pop », d’une délicatesse fragile, est hurlée d’une voix
désespérée et habitée par la lourdeur du monde. L’album est un véritable volcan
rock en éruption où jaillissent les flammes de l’enfer, les idées noires et les
pluies acides.
Un talent énigmatique. Une
insouciance incroyable. Prodigieux.
#5 James Blake - James Blake
Les deux premiers EP de James
Blake, CMYK et Klavierwerke, expérimentaux à souhait, ne laissaient présager un
tel triomphe. Aujourd’hui, le londonien de 22 ans attire les louanges. Il a
même tapé dans l’œil de Kanye West, toujours avide de rencontres musicales
inattendues. Un succès que le britannique doit à un album magnifique et
surprenant.
James Blake questionne les styles
musicaux autant que sa propre expérience. Son œuvre éponyme oscille entre
dubstep fantasmatique et pop introvertie. Il revisite « Limit To Your
Love » de Feist de façon limpide et nous propose une ode délicieuse avec
« Wilhelms Scream ». Dans ses titres, le vide joue un rôle
omniprésent, les silences parlent. L’observation de l’autre, la contemplation
du monde contemporain et de sa solitude urbaine sont autant de thèmes abordés,
d’une voix placide et irréelle.
Cet album, aussi sombre soit-il,
brille de tout l’éclat de son auteur.
#4 The Weeknd - House of Balloons
The Weeknd est assurément l’un
des rookies de l’année les plus talentueux. Déjà présenté sur le blog, par
l’intermédiaire de deux « Song of the Week », l’originaire de Toronto
a illuminé la scène R&B au début du printemps. Un LP somptueux, répondant
au nom de House of Balloons a fait chavirer plus d’un cœur. Une voix des plus
aigües, des complaintes à rallonge, une cover originale, quelques clichés et
The Weeknd installe son univers pour longtemps.
Sa notoriété a encore grimpé
lorsque le canadien a reçu le soutien d’un compatriote de choix, en la personne
de Drake. Ce dernier l’a d’ailleurs invité à poser sur deux titres de Take
Care, un album qui n’en demeure pas moins insipide. « High For This »
et « The Morning » s’imposent comme les deux titres les plus aboutis
du premier essai de The Weeknd. La voix est angélique et douce, souvent
troublante, toujours envoutante.
La musique de The Weeknd ne
ressemble à aucune autre. Et dans une époque de standardisation et de mimétisme
culturels, c’est un grand compliment.
#3 The Throne - Watch the Throne
The Throne, la doublette formée de
Kanye West est Jay-Z, fait preuve de la plus grande luxuriance. À l’heure d’une
disparité croissante des revenues et d’un marasme économique inquiétant, les
deux compères discutent d’abondance, d’opulence et de magnificence, le tout
dans une enveloppe d’or, dessinée par Ricardo Tisci. Légèrement anachronique.
Mais il ne faut pas perdre de vue que nous avons affaire à deux fins
connaisseurs de leur domaine, qui ont bien compris que le rap comme évasion est
aussi important que le rap comme réalité.
Aussi, après une première lecture
aveuglante de l’album, la gloire, la paternité, la race sont autant de thèmes
qui nous amènent à réfléchir. « New Day » nous annonce la naissance
d’une nouvelle ère pour les deux acolytes. La cohabitation est fructueuse :
Jay-Z dans le rôle du sage, Kanye naturellement fougueux. « Otis »
revisite Redding dans un titre triomphant et marquant. Jay’ et ‘Ye sont heureux
et cela s’entend. Le plaisir est communicatif. Le duo façonne son royaume,
qu’importe la personne présente sur le trône. L’entente est si bonne que Hova a
récemment annoncé qu’un deuxième tome pourrait voir le jour dès l’année
prochaine. L’empire n’a pas de limites.
Après avoir fait exploser
Facebook avec le titre H.A.M, battu des records de ventes sur iTunes, The
Throne a entamé une tournée épique il y a près de deux mois, sillonnant
l’Amérique du nord. Et dans un rituel
devenu célèbre, le couple conclut son show par le titre « Niggas in
Paris ». La particularité ? Ils le chantent au minimum à cinq
reprises. Record en date : onze récidives. That sh*t cray !
#2 Bon Iver - Bon Iver
Trois ans se sont écoulés, et
beaucoup de choses ont changées. En 2008, sous le nom de Bon Iver (mauvaise
traduction du français), Justin Vernon publie For Emma, Forever Ago, un album folk
d’une douceur réconfortante. Mais aujourd’hui les temps ont changés. Les états
d’âmes amoureux sont révolus. « On m’a tellement parlé de rupture que je
voulais cette fois arriver avec un disque qui n’aurait strictement aucune
légende. Je ne peux pas me faire plaquer tous les quatre ans non plus »,
plaisante-t-il gentiment. Les dix chansons de l’album, simplement intitulé Bon
Iver, retranscrivent les mois qui ont suivi For Emma et presque toutes portent
le nom d’un lieu précis.
« Perth », le morceau
qui ouvre le bal, nous plonge dans une atmosphère subtile et lumineuse qui ne quitte
pas l’auditeur jusqu’à la dernière note. En plus de ses compagnons de route
habituels, Vernon s’entoure d’une section de cordes et du saxophoniste officiel
d’Arcade Fire, Colin Stetson. « Calgary » s’avère sublime,
« Come Talk To Me » se révèle mirifique. L’ensemble caresse l’ouïe
avec volupté. L’écriture est soignée, les mélodies sont limpides et planantes. Bon
Iver intrigue par sa délicatesse et sa complexité.
Un voyage passionnant, dévorant. Une
œuvre flamboyante. Rien de tel pour passer l’Iver au chaud.
#1 Frank Ocean - Nostalgia, Ultra
On croyait le R&B mort,
disparu… Les pseudo-chanteurs s’orientent les uns après les autres vers la pop
autotunée… Et puis, Frank Ocean débarque,
seul au monde. Son ascension est si fulgurante qu’il est invité a posé sur
Watch The Throne.
Pourtant signé chez Def Jam,
Lonnny Breaux se dirige vers une destinée commune avec sa pléiade de titres
R&B de très bonne facture mais que personne n’écoute. En début d’année, il
y a l’explosion de ce groupe détonnant qui répond au nom alambiqué d’Odd Future
Wolf Gang Kill Them All. Lonny Breaux laisse place à Frank Ocean et joue la
touche smooth d’OFWGKTA. Il bénéficie du buzz d’Odd Future et de l’aura de son
leader déjanté Tyler, The Creator. Mais surtout, Frank Ocean se dévoile avec
Nostalgia, Ultra, une tape qui tombe du ciel, à la fin du mois de février. Une BM
orange sortie des eighties garée dans un bois décor la cover. Pas franchement
emballant et plutôt énigmatique. En réalité complètement nostalgique.
Les curieux qui appuieront sur la
touche play ne le regretteront pas. L’écoute est une divine surprise. Entre les
bruits de K7, Frank Ocean couvre des samples de Coldplay (« Strawberry
Swing), The Eagles (« American Wedding ») ou Mr Hudson (« There Will
Be Tears ») avec une nonchalance merveilleuse. Le natif de New Orleans
séduit avec sa voix complaignante, sa créativité débordante et ses textes
équivoques. « Novacane » et « Swim Good » se détachent
comme deux des titres phares d’un ensemble rafraîchissant et fascinant. Au fil
des écoutes, Frank Ocean se révèle ambivalent. Il est un de ces loveurs
incertains qui veut écouter son cœur mais ne peut oublier totalement son phallus.
À 24 ans, il est ni tout à fait mature, ni vraiment sérieux.
Frank Ocean n’a pas fini de
grandir. Son talent non plus.
Skyzoid.
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[Video] BAD ASS - Trailer
He's MEAN, He's Angry, He's Old ! Tel sont les mots qui marquent au sortir du trailer du film Bad Ass. Un titre qui n'est pas sans rappeler Sweet Sweetback Badass Song (de Melvin Van Peebles) ou encore Baadasssss! (de Mario Van Peebles).
L'histoire est ici tout autre puisque l'on suit les aventure d'un sexagénaire qui rend la justice à coup de poing. Un vieil homme barbu, costaud et coiffé d'une casquette... ça ne vous rappelle rien ? Epic Beard Man !
Si c'est non, voilà de quoi vous rafraîchir la mémoire. On ne sait pas quand le film sortira mais je pense que le buzz est assuré car il me semble qu'aucun film n'a été tiré d'une vidéo virale auparavant. Et qui mieux que Danny Trejo pouvait incarner ce retraité bagarreur.
Je ne sais pas pour vous, mais dès qu'il sort, je campe devant la salle de cinoche la plus proche !
Plus d'infos sur la page facebook.
27 déc. 2011
[Illustration] Pablo Lobato : Le dompteur de formes
Après avoir fini ses études, le jeune Pablo Lobato travaille comme graphiste pour de nombreux magazines. Mais il perd peu à peu son appétit pour ce métier qui l'ennuie profondément. Il se reporte donc sur un domaine qui le motive d'avantage : l'illustration.
L'artiste argentin se poste maintenant en tant qu'alchimiste des couleurs, en tant que dompteur de formes qui, prises une à une, semblent banales mais qui, mises bout à bout, prennent tout leur sens.
Times Magazine, Rolling Stone, The New-Yorker et bien d'autres ont déjà fait appel à ses talents d'illustrateur et de caricaturiste éclairé.
After finishing his studies, the young Pablo Lobato works as a graphic designer for many magazines. But it gradually loses its appetite for the job that bores him deeply. It refers therefore an area that motivates him more: the illustration.
The Argentine artist is now in position as alchemist of color, as tamer forms which, taken one by one, seem trivial but, put together, make sense.
Times Magazine, Rolling Stone, The New Yorker and many others have used his talents as an illustrator and cartoonist informed.
The Argentine artist is now in position as alchemist of color, as tamer forms which, taken one by one, seem trivial but, put together, make sense.
Times Magazine, Rolling Stone, The New Yorker and many others have used his talents as an illustrator and cartoonist informed.
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26 déc. 2011
[Video] The XX - Open Eyes (Demo)
Ils préparent actuellement leur prochain album. Et pour nous faire patienter, le célèbre groupe britannique nous balance la démo du titre Open Eyes.
Résultat : on est encore plus impatients de connaitre la suite !
Résultat : on est encore plus impatients de connaitre la suite !
25 déc. 2011
[Fashion] Prep Jerks Holidays Releases 2011
On entame à peine l'hiver et certaines marques pensent déjà à l'été. C'est le cas de la maison Prep Jerks qui nous gratifie d'une petite collection composé de deux tees et d'un sweatshirt crew neck de toute beauté comme à l'accoutumé. Prep Jerks c'est l'intelligent compromis entre street wear et culture preppy. Un mélange qui est appelé à durer.
It just starts the winter and some brands are already thinking about summer. This is true of American home Prep Jerks who offers us a small collection consists of two tees and a crew neck sweatshirt very beautiful as usual. Prep Jerks is the intelligent compromise between street wear and preppy culture. A mixture that is expected to last.
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[Music] Thank God It's Friday #31
KorgBrain - Music Makes Me Higher (Original Mix) by KorgBrain Sei A - Frozen Flower (dangerDAN Remix) by dangerdan_ THE BOOMCAST #10 (French Fries B2B Manaré & Ill Blu) by ClekClekBoom ChristmasBeat by S H A D Y DWNTWN RCRD presents XMAS11 Compilation by DWNTWN RCRD 1, 2, Won't Do (a will-not-be-finished draft) by Blaze! AWAX BARBER - DISCO STAR by a-wax barber Sound Pellegrino - Bassface (Ruined by Silvio Daria) by Silvio Daria Cool & Pretty Bitches ! - Night-Club Fantôme. by Night Club Fantome Cooking Balbud - part 1/4 by Mr Viktor
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23 déc. 2011
[Pub] Pilot x Lego
Faire des dessins grandioses sur des surfaces plus que réduites, c'est le défi fou que Pilot a relevé. Et pour illustrer ce concept, l'agence de pub Grey s'est mise à tatouer des Lego.
Fallait y penser !
Fallait y penser !
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22 déc. 2011
[Collab] Freshcotton x Obey
Pour fêter ses dix ans, le webshop néerlandais Freshcotton nous promet une avalanche de collabs. Et pour l'inaugurer, ils ont fait appel à Obey himself pour produire une casquette snapback ainsi qu'un tee dessiné par le célèbre artiste américain.
Et ce n'est que la première semaine, attendez donc de voir ce que Freshcotton a dans sa hotte !
Faites-vous plaisir ici.
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21 déc. 2011
[Song] Nightbreaker - Metropolis (Irish Steph remix)
Irish Steph ,dj hyperatif signé sur Paranoiak sort aujourd'hui son remix de Metropolis par Nightbreaker. Voici un remix frénétique ponctué de passages lascifs qui déroute et désoriente les oreilles les plus aiguisées.
Pour un Nöel mouvementé.
Téléchargez-le ici
Nightbreaker - Metropolis (Irish Steph Remix) by Irish Steph
Pour un Nöel mouvementé.
Téléchargez-le ici
Nightbreaker - Metropolis (Irish Steph Remix) by Irish Steph
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[Video] Badi feat Sendo - Jump 2
22 v'là Badi ! Le MC belge revient avec une nouvelle version de son titre Jump, cette fois accompagné par Senso du groupe Joshua.
Un titre conscient et festif à la fois.
20 déc. 2011
[Video] Flinstone : Je Zappe et Je Mate #22
Je Zappe :
Honnêtement
… C’est Noël … On va vraiment zaper un truc ? Sincèrement c’est peut être
les chocolats mais je n’arrive vraiment pas à trouver un truc tout raté. Pour
certains on appelle cela la « Magie de Noël » pour d’autre on dira
tout simplement « On ne va pas finir notre année en parlant de navet quand
même ! ». Donc voilà, question de remplir cette page, et bien que le
son remonte à deux-trois semaines maintenant on reste dans l’ambiance de la
semaine.
Maria Carey pour une énième reprise de All
I Want For Chritmas Is You, accompagné, pour le plaisir de nos
oreilles, de Justin Bieber …
Haaaaa qu’il est loin des chants pour Noël à base de Frank Sinatra, Nat King Cole,
… Sans oubliez l’inclashable Christmas in Hollis des Run DMC !
Je Mate :
Faut-il
vraiment présenter Common ?
Vous me direz que j’aurais pu trouver autre chose cette semaine entre le
dernier clip de Crooke I – Drum
Murder (un délire pur au passage) ou encore Talib Kweli – Distractions pour finir avec Wiz Khalifa – California … Mais
il y a ce genre d’artiste qui sera toujours au top. Une histoire de 20 ans
maintenant qui donne l’impression qu’elle ne décevra jamais. De Can
I Borrow A Dollar en 1992 à The Dreamer, The Believer de
2011, Common réussit toujours à nous
présenter une de ses douceurs aux oreilles qu’on aime tellement. Et personne ne
s’y trompe, à commencer par les plus grands. NAS, Jamie Foxx, Kanye West, Lauryn Hill, Erykah Badu,
Mary J. Blige, John Legend, DJ Premier,
Pharrell, … une liste de noms
interminable et incontournable.
Certains
sceptiques feront référence aux albums d’Electric Circus ou Universal
Mind Control, qui proposent des univers différents des autres
albums, mais en aucun cas moins bon.
Cette
semaine, c’est au tour du son Celebrate de promouvoir le
lancement de l’album The Dreamer, The Believer depuis
deux jours en ventes maintenant. Un son qui fera sans doute un carton pour
toutes les soirées de nouvel an, en tout cas de notre côtés c’est assuré. Ou
comment un clic peu apporter 4 minutes de plaisir …
Et
pour les plus incultes de nous, il n’est jamais trop tard !
Flinstone.
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[Release] Posttod - Moon EP
Entre JJ, Owl Vision j'en passe et des meilleurs, la Suède nous a déjà prouvé sa valeur sur la scène électro. Un nouveau venu vient apporter sa pierre à l'édifice. Posttod est un jeune groupe qui n'en est pas à son premier essai. Après le succès de leur titre Dead In The Universe en 2010, ils sortent aujourd'hui tout un EP. Moon est ce qu'on appelle le projet de la maturité, une composition mûrement réfléchie et bien ficelées.
Impossible de ne pas être engloutit par leur univers éthéré, d'être happé par l'aspect implacable de leurs rythmiques.
La chanson Through Your Eyes, en particulier sonne incontestablement comme un hit. Moon, c'est le talent venu du froid.
Impossible not to be swallowed up by their ethereal world, to be caught by the appearance of their relentless rhythm.
The song Through Your Eyes, in particular sounds like definitely a hit. Moon is the talent came from the cold.
Et en plus, c'est gratuit !
Posttod - Moon 2011 by Posttod
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19 déc. 2011
[Song] Azealia Banks - Liquorice
C'est Spank Rock au féminin paraît-il. 2012 sera son année paraît-il. On tente de lui prédire un avenir radieux comme on l'avait fait pour Kid Sister ou encore Kreayshawn. Mais Azealia Banks ne tire pas de plans sur la comète, qu'elle est désormais. Elle n'est pas du genre à faire attention à ce qui se dit sur elle ni à se prendre au sérieux. Et ça se sent...ou plutôt ça s'entend.
Sur le trépidant Liquorice, elle et son flow effréné nous font une énième démonstration de son délicieux je-m'en-foutisme.
Azealia, c'est où tu veux, quand tu veux...
LIQUORICE by Azealia Banks
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18 déc. 2011
[Cinema] Paye ta Toile #11 - On achève bien les chevaux
Vous connaissez la catégorie des films "sympas" ? Eh bien celui-ci n'en fait pas partie, loin de là. On achève bien les chevaux est un film dont le titre annonce la couleur : on ne va pas se fendre la poire.
On est en 1930 aux Etats-Unis, la Grande Dépression. Partout dans le pays, des marathons de danse fleurissent. A la clé de ces épreuves, une grosse prime en argent. Les américains de tous bords s'y précipitent. Et c'est dans l'un de ces événements que l'on suit Gloria (Jane Fonda) et Robert (Michael Sarrazin) bien déterminé à raffler la mise.
Mais l'épreuve est plus rude que prévue, plusieurs jours de danse entrecoupés de quelques minutes pour souffler.
Entre nécessité d'aller jusqu'au bout et manque de sommeil, les deux personnages se soutiennent mutuellement tant bien que mal, sans se rendre compte qu'ils perdent pied tous les deux.
Ce n'est pas un film haletant, mais je dirais que Sydney Pollack en fait un film intense. On a envie de les sortir de là; on tremble avec eux quand ils sont confrontés aux crises d'hystérie et au coups bas.
Comme je l'ai écrit plus haut, c'est un drame, mais un des drames les plus profonds que je connaisse, on est captivé/horrifié du début à la fin, on souffre avec les personnages même si cela concerne une époque que nous n'avons pas connu (à moins que j'ai des lecteurs de plus de 80 ans, allez savoir).
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16 déc. 2011
[Mode] Les Petits Chacha - Collection Capsule Homme
Sorti tout droit du cerveau prolifique de Charlotte, les Petits Chacha est une marque au caractère bien trempé. Diplômée de l’ESMOD,
Charlotte confectionne elle-même ses bijoux fantaisie en mélangeant ses humeurs aux matières le tout
dans un souci de qualité. Un univers
très girly me dîtes-vous ? Erreur ! La jeune marque sort maintenant une série de nœuds papillon
pour nous les hommes. Trois nœuds pour être
exact qui raviront tout dandy qui se respecte.
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15 déc. 2011
[Music] Spoek Mathambo x Motel 11
One Louder Agency nous présente son projet Model Roadtrip
Tape 11. Chaque tape sera consacrée à un artiste, à son pays et à ses
influences. Le 20 Décembre prochain, ce sera donc Spoek Mathambo qui
ouvrira le bal avec le projet Nombolo One. Ce titre fait aussi référence au groupe de l'artiste. L'album sera uniquement composé de
reprises de classiques sud-africains à la sauce Mathambo.
Pour l'occasion, il s'est entouré du collectif Love & Hate Studio qui
s'est occupé du artwork qui accompagnera le coffret cd et les vestes en jeans
estampillés Nombolo One. Spoek Mathambo a aussi fait appel à des
chanteurs et musiciens locaux pour l’accompagner tout au long du projet.
Pour vous donner un aperçu, voici l'envoutant Melodi
en featuring avec The Frown.
Enjoy !
[Collab] Poyz & Pirlz x l'Outil de Production
Poyz & Pirlz ce n'est pas que des t-shirt insolents, c'est une envie de découverte, un besoin d'explorer de nouveaux support. La marque Parisienne s'est donc associée avec l'atelier l'Outil de Production pour produire deux pièces de petite maroquinerie en édition limitée (15 exemplaires).
Les deux portefeuilles sont le fruit de la rencontre entre le savoir faire ancestral de l'Outil de Production et l'univers impertinent de Poyz & Pirlz.
Admirez le travail !
Les deux portefeuilles sont le fruit de la rencontre entre le savoir faire ancestral de l'Outil de Production et l'univers impertinent de Poyz & Pirlz.
Admirez le travail !
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